Ah !Si jamais ton luth ,amolli par les pleurs,
Soupirait sous tes doigts l’hymne de tes douleurs…
Jamais, jamais l’écho de la céleste voûte,
Jamais ces harpes d’or que Dieu lui-même écoute,
Jamais des séraphins les choeurs mélodieux
De plus divins accords n’auraient ravi les cieux.
_Alphonse de La martine _ Les méditations _